J’ai trouvé une amie: c’est la personne de chez vous avec qui je peux discuter chaque mardi après-midi à la Pause-Café devant un petit café. Il me fallait cela car quand on est seule, on a l’impression qu’on ne compte plus pour personne. Merci!
Clélia, 32 ans, Neudorf
J’ai réussi à m’habiller à l’Armoire Solidaire du CSP avec peu de moyens: c’est génial! J’y ai trouvé de beaux habits pas chers du tout. J’y suis revenu plusieurs fois. Il y a toujours de nouveaux habits. Depuis, je l’ai souvent répété autour de moi: les étudiants trouvent ici ce qu’il leur faut pour pas cher!
Moussa, 20 ans, Strasbourg
À la mort de mon mari, je n’ai plus pu payer le loyer et comme je ne travaillais pas, j’ai été mise à la rue avec deux enfants de 4 et 6 ans. Le CSP était la seule écoute que j’ai pu trouver.
Irène, 28 ans, Hautepierre
Quand ma femme m’a quitté, j’ai dû m’occuper tout seul de mon petit garçon. Ça a été difficile surtout que j’étais déjà au chômage depuis longtemps et en fin de droits. Les colis alimentaires du CSP, puis les achats à la boutique alimentaire où on ne paie qu’une partie du ticket de caisse m’ont aidé à ne pas sombrer complètement. Mais, ce qui m’a été surtout d’une grande aide, ce sont les entretiens avec le psychanalyste de l’Espace Écoute et Parole tous les mardis durant presque un an. Sans ces rendez-vous, je ne serai plus en vie aujourd’hui.
Jean, 53 ans, Plobsheim
Notre demande d’asile a été refusée. Le CSP a trouvé et payé notre logement durant presque deux ans. Nos trois enfants ont ainsi pu aller à l’école tous les jours. Nous remercions le CSP et la paroisse qui a participé à ces frais. Aujourd’hui, nous avons été régularisés par le Préfet et nous travaillons tous les deux.
Joseph et Anna, Koenigshoffen, originaires de Géorgie